MERCI Biogance
- Posted 2 décembre 2024
- by Anthony-T
Chère équipe de Biogance,
Au nom de notre association, je tiens à vous exprimer notre profonde gratitude pour votre généreuse contribution. Les produits de grande qualité que vous nous avez attribués auront un impact précieux pour le bien-être des animaux rescapés que nous accueillons et accompagnons vers une nouvelle vie.
Votre engagement envers nos compagnons à quatre pattes est une source d’inspiration et de motivation pour nous tous. Grâce à votre soutien, ces animaux, souvent marqués par des parcours difficiles, bénéficient de soins adaptés et d’un confort qui leur est indispensable.
Nous sommes également touchés par votre démarche bienveillante à l’égard des associations comme l’Arche de associations. Cela démontre une véritable volonté de faire une différence, non seulement par la qualité de vos produits, mais aussi par vos actions concrètes en faveur de la cause animale.
Encore un immense merci pour votre générosité et pour le rôle que vous jouez dans l’amélioration de la vie de ces êtres vulnérables. Nous serons ravis de continuer à collaborer avec vous dans le futur.
Un grand merci à l’Arche des Associations pour cette belle collaboration.
Avec toute notre reconnaissance,
Sauvetage de Huski
- Posted 7 octobre 2024
- by Anthony-T
Journée Mondiale des Animaux
- Posted 6 octobre 2024
- by Anthony-T
Forum des Asso 8 Sept 2024
- Posted 10 août 2024
- by Anthony-T
Rejoignez-nous au Forum des Associations de Villeparisis le 8 septembre 2024 ! Venez rencontrer l’équipe d’Avenir’Animal, une association dédiée à la protection et au bien-être des animaux depuis 20 ans. Nous sommes impatients de partager avec vous nos projets, nos actions et nos succès dans la lutte pour la défense des animaux.
Lors de cet événement, vous aurez l’opportunité de :
– Découvrir nos programmes de sensibilisation et d’éducation.
– En apprendre davantage sur nos campagnes de sauvetage et de réhabilitation.
– Rencontrer nos bénévoles et échanger sur leur expérience.
– Explorer les différentes façons dont vous pouvez vous impliquer, que ce soit en tant que bénévole, donateur ou simple soutien.
Que vous soyez déjà un ami des animaux ou que vous souhaitiez en savoir plus sur la cause animale, cet événement est fait pour vous ! Ensemble, nous pouvons faire la différence.
Pour plus d’informations, veuillez nous contacter à contact@aveniranimal.fr, visiter notre site web www.aveniranimal.fr, vous renseigner sur notre page Facebook AA Avenir’Animal ou tout simplement nous écrire sur LinkedIn.
Nous espérons vous voir nombreux et nombreuses le 8 septembre !
L’association AVENIR ANIMAL à l’honneur au forum animal de Gagny le 27/04/2024
- Posted 5 mai 2024
- by Anthony-T
L’Association Avenir Animal s’est récemment lancée dans une nouvelle étape passionnante en participant pour la première fois au Forum de l’animal de la Ville de Gagny, le 27 avril 2024 dernier. Cet événement, véritable vitrine de l’amour et du respect envers nos compagnons à quatre pattes, a été une occasion pour notre association de partager notre mission et notre engagement en faveur du bien-être animal.
Participation au Forum Animal de Gagny le 27/04/2024
- Posted 28 janvier 2024
- by Anthony-T
Notre association participe pour le 1ere année au Forum de l’animal sur la ville de Gagny , après avoir participer à d’autres Forum.
Nous serons présent le 27/04/2024 de 10h00 – 17h00
N’hésitez pas à venir nous rencontrer pour obtenir des informations , adhérer à notre association …
La loi du 30 Novembre 2021
- Posted 4 novembre 2023
- by Anthony-T
Loi du 30 novembre 2021 visant à lutter contre la maltraitance animale et conforter le lien entre les animaux et les hommes
Nouveau certificat pour l’acquisition d’un animal de compagnie, sanctions renforcées en cas de sévices et de zoophilie, fin des delphinariums en 2026 et des animaux sauvages dans les cirques itinérants en 2028… Ce sont quelques unes des mesures de la loi visant à lutter contre la maltraitance animale.
La loi a été promulguée le 30 novembre 2021. Elle a été publiée au Journal officiel du 1er décembre 2021.
La loi comprend plusieurs mesures pour lutter contre la maltraitance des animaux domestiques et des animaux sauvages captifs et améliorer leurs conditions de détention. Elle a été enrichie par les députés et les sénateurs.
Lutter contre les abandons des animaux domestiques
Pour limiter les achats impulsifs et prévenir les abandons, le texte impose aux futurs primo-propriétaires d’un chat ou d’un chien ou d’autres animaux de compagnie de signer un « certificat d’engagement et de connaissance ». Un délai de réflexion de 7 jours est imposé entre la délivrance de ce nouveau certificat et l’achat ou le don de l’animal. Ce dispositif s’inspire de la proposition n° 6 du rapport du député Loïc Dombreval sur « le bien-être des animaux de compagnie et des équidés », remis en juin 2020 au Premier ministre et au ministre de l’agriculture. Sur amendement des sénateurs, le certificat délivré aux futurs maîtres inclura les informations aujourd’hui portées au document d’information sur l’animal.
Toujours pour lutter contre les abandons, les parlementaires ont voté par amendements :
l’interdiction de la vente des chiens et chats en animalerie à partir de 2024. Des chiens et chats abandonnés pourront être présentés à l’adoption dans les animaleries, en partenariat avec les refuges. Les animaleries ne pourront plus montrer des animaux en vitrine donnant sur la rue ;
l’interdiction des offres de cession sur internet des animaux de compagnie, avec une dérogation possible sous plusieurs conditions : les sites devront créer une rubrique dédiée, contrôler et labelliser chaque annonce… La vente en ligne est permise pour les éleveurs et les animaleries ;
l’interdiction de la vente ou du don d’un animal de compagnie aux mineurs, sans accord de leurs parents ;
l’identification obligatoire de tous les chats et les chiens domestiques (actuellement seuls les chiens nés après le 6 janvier 1999 et les chats nés après le 1er janvier 2012 sont concernés) ;
un statut pour les associations de protection d’animaux sans refuge et les familles d’accueil d’animaux abandonnés.
Le texte renforce, par ailleurs, la législation sur les nouveaux animaux de compagnie (NAC) et contient des mesures sur les équidés, notamment la création d’un certificat d’engagement et de connaissance pour les détenteurs particuliers, l’interdiction des « manèges à poneys » et une nouvelle procédure de vente forcée pour les chevaux abandonnés chez un professionnel.
Les dispositions sur les fourrières sont revues. Les communes pourront confier cette mission à des associations disposant d’un refuge. L’obligation pour le maire de faire stériliser les chats sauvages sur sa commune, prévue par le texte initial, a été remplacée par une expérimentation sur cinq ans d’une action coordonnée contre la prolifération de chats errants par l’État et les collectivités locales volontaires.
Une sensibilisation concernant les animaux de compagnie est introduite au sein du service national universel (SNU) et dans l’enseignement d’éducation morale et civique à l’école.
Renforcer les sanctions contre la maltraitance des animaux domestiques
Le code pénal punit déjà les sévices graves ou les actes de cruauté envers un animal domestique. Le texte durcit les sanctions qui pourront être aggravées, notamment lorsque les faits sont commis en présence d’un enfant. Sont aussi aggravées les peines en cas d’abandon dans certaines circonstances. Par ailleurs, un amendement transforme en délit le fait de donner volontairement la mort à un animal domestique ou apprivoisé. Des exceptions sont prévues pour les traditions locales (tauromachie notamment).
Un « stage de sensibilisation à la prévention et à la lutte contre la maltraitance animale » pourra être prononcé par le juge comme peine alternative ou complémentaire à une peine de prison.
De nouvelles dispositions viennent mieux réprimer la zoophilie et la zoopornographie sur les animaux domestiques. L’enregistrement et la diffusion sur internet de sévices graves, d’actes de cruauté ou « d’atteintes sexuelles » sur un animal domestique sont notamment visés. Le fait de solliciter ou de proposer la mise à disposition d’un animal dans un but zoophile, sur un site de rencontres par exemple, est pénalisé (un an de prison).
Vers la fin des animaux sauvages dans les cirques itinérants et les delphinariums
Le texte envisage, après accord en commission mixte paritaire, d’interdire d’ici 2028 la détention et le spectacle d’animaux sauvages dans les cirques itinérants (et d’ici 2023 l’acquisition et la reproduction de ces animaux). Des solutions d’accueil devront être proposées pour recueillir les animaux. S’il n’en existe pas, un décret devra permettre aux cirques de les conserver. Une commission nationale consultative pour la faune sauvage captive est créée auprès du ministre chargé de la protection de la nature. Elle pourra être consultée sur les moyens permettant d’améliorer les conditions d’entretien et de présentation au public des animaux sauvages captifs. Les cirques fixes, quant à eux, seront soumis aux règles générales de fonctionnement des zoos.
Les spectacles de dauphins ou d’orques seront interdits à partir de 2026. Il sera mis fin à leurs détention et reproduction en captivité, sauf dans le cadre de programmes de recherches scientifiques ou dans des « refuges ou sanctuaires pour animaux sauvages captifs », dont le statut est précisé.
Les spectacles avec des animaux sont prohibés dans les discothèques ou fêtes privées. À partir de 2023, il ne pourra plus y avoir d’animaux sauvages dans les émissions de variétés ou de jeux à la télévision. À la même date, l’activité des montreurs d’ours et de loups sera interdite.
850 animaux de cirque, 21 dauphins, 4 orques et 5 montreurs d’ours sont concernés.
Enfin, il est mis fin aux élevages de visons d’Amérique et d’autres espèces sauvages pour leur fourrure.
Témoin d’actes de maltraitances
- Posted 16 octobre 2023
- by Anthony-T
Le ministère de l’Intérieur a mis en place sur son site internet un formulaire vous permettant de signaler à la gendarmerie ou à la police nationale un acte de violence soudain ou une privation de soins sur la durée dont serait victime un animal.
Infliger de mauvais traitements à un animal domestique ou à un animal sauvage apprivoisé ou tenu en captivité est interdit. Parmi les actes considérés comme de la maltraitance animale :
le fait de priver un animal de nourriture et d’eau ;
laisser un animal sans soins en cas de maladie ou de blessure ;
placer et maintenir un animal dans un habitat ou un environnement pouvant être une cause de souffrances, de blessures ou d’accidents ;
utiliser, sauf en cas de nécessité absolue, des dispositifs d’attache, de contention, de clôture ou tout mode de détention inadaptés à l’animal ou de nature à provoquer des blessures ou des souffrances.
Pour protéger les animaux victimes de sévices, le ministère de l’Intérieur a mis à disposition sur son site internet un formulaire vous permettant d’effectuer un signalement confidentiel et anonyme si vous avez assisté à des faits qui constituent une maltraitance animale. Il vous est notamment demandé :
l’état de l’animal (maigre, malade, blessé ou mort) ;
si la personne mise en cause est un professionnel ou un particulier ;
de décrire les faits le plus précisément possible pour guider les enquêteurs dans leurs investigations.
En cas d’urgence ou de faits en cours, il est préférable d’appeler directement le 17.
À noter : toute personne qui inflige volontairement et sans nécessité, publiquement ou non, des mauvais traitements à un animal encourt une amende de 750 €. Le tribunal peut décider, en plus, de confier définitivement l’animal à une association de protection animale.
Les sévices graves et les actes de cruauté sont, pour leur part, punis de 3 ans de prison et de 45 000 € d’amende. La loi du 30 novembre 2021 visant à lutter contre la maltraitance animale et conforter le lien entre les animaux et les hommes a par ailleurs créé des circonstances aggravantes, notamment :
le fait de commettre ces actes en présence d’un mineur ;
le fait d’abandonner l’animal dans des conditions présentant un risque de mort immédiat ou imminent ;
lorsque les sévices graves ou actes de cruauté s’exercent sur un animal détenu par des agents dans l’exercice de missions de service public.
Et aussi
Comment signaler une maltraitance animale et quelles sont les sanctions ?
Pour en savoir plus
Ministère chargé de l’intérieur / Direction de l’information légale et administrative (Première ministre)