Aujourd’hui, le 4 octobre ,
nous célébrons la Journée Mondiale des Animaux. Une journée dédiée à ces êtres qui partagent notre planète, et qui, malgré leur loyauté, leur innocence et l’amour inconditionnel qu’ils nous apportent, continuent de subir la cruauté, l’abandon et l’exploitation. Cette journée n’est pas simplement une fête, mais un appel urgent à la conscience collective.
Les animaux, qu’ils soient domestiques ou sauvages, sont des compagnons de vie, des protecteurs silencieux, des âmes pures qui, dans leur vulnérabilité, nous enseignent des leçons de compassion et d’empathie. Ils n’ont pas de voix pour réclamer leurs droits, alors c’est à nous, humains, de les protéger, de leur offrir le respect et l’amour qu’ils méritent. Mais dans notre monde actuel, combien d’entre eux sont encore traités comme de simples objets, dénués de sentiments ?
Combien sont maltraités, négligés, abandonnés, chaque jour, sans que cela ne provoque de révolte ?
Dans cette société où l’individualisme règne et où l’exploitation des ressources, y compris celles du règne animal, ne connaît pas de limites, nous devons nous interroger. Que sommes-nous devenus, si nous ne sommes pas capables de protéger ceux qui ne peuvent se défendre ? Les animaux ne demandent rien de plus que de l’amour, du soin, et le droit de vivre dignement. Et pourtant, beaucoup d’entre eux sont soumis à des souffrances inimaginables, que ce soit dans les élevages industriels, les laboratoires, les rues ou les forêts.
Leur amour est pur, leur fidélité inébranlable, et pourtant, nous les décevons trop souvent. La Journée Mondiale des Animaux doit être un rappel brutal que nous avons le pouvoir et le devoir de changer cela. Chaque acte de bonté envers un animal, chaque geste pour défendre leur cause, est une lumière dans un monde qui en manque cruellement.
Aujourd’hui, et tous les jours, faisons plus qu’admirer la beauté des animaux : engageons-nous à les protéger, à parler pour eux, à défendre leur place dans ce monde. Parce que leur vie compte. Parce qu’ils méritent bien plus que l’indifférence d’un monde où l’humain se pense trop souvent au sommet de tout